lundi 24 septembre 2012

mardi 18 septembre 2012

CAMILLE REDOUBLE

Camille a seize ans lorsqu’elle rencontre Eric. Ils s’aiment passionnément et Camille donne naissance à une fille…
25 ans plus tard : Eric quitte Camille pour une femme plus jeune.
Le soir du 31 décembre, Camille se trouve soudain renvoyée dans son passé.
Elle a de nouveau seize ans. Elle retrouve ses parents, ses amies, son adolescence… et Eric.
Va-t-elle fuir et tenter de changer leur vie à tous deux ? Va-t-elle l’aimer à nouveau alors qu’elle connaît la fin de leur histoire ?


lundi 17 septembre 2012

test

We Love Green

Seconde édition du plus écolo des festivals à Bagatelle. 

Dimanche
J'arrive après HERMAN DUNE, suivi de CODY CHESNUTT, soul-funk classique, le bonhomme reste assis sur le bord de la scène une partie du concert. Suivent ELECTRIC GUEST. Le chanteur sait chanter avec une voix de fausset, du pop-rock bien fichu, mais ce n'est pas ma tasse de thé. Le soleil se couche déjà et BREAKBOTentame son live. Son MacBook est caché derrière une grosse bouche en plastique. Un live qui tient du medley disco (Moroder ou époque Sister Sledge et Chic, trop eighties cheap), avec des samples marges comme ça soutenus par des rythmes plus contemporains, cela manque justement de rythme et de variété, on a l'impression d'écouter un DJ mix. On sent aussi la tutelle des Daft Punk, dont il reprend carrément le "Da Funk", sans grand intérêt. Hommage aussi au Pulsar de Ben Liebrand. Ça vire plus techno façon Boys Noize un court instant avant qu'Irfane n'interprète le tube du moment "Baby I'm Yours", devant un public conquis.
Au sujet de C2C, qui clôturent le festival, un garçon glisse : "Ils sont graves sur le mode Birdy Nam Nam", c'est vrai que 4 DJ avec chacun une platine sur scène, cela rappelle quelque chose. Mais ici en moins techno. On retrouve les influences jazz de Hocus Pocus, la moitié du collectif avec Beat Torrent. Comme les Birdy, on ne comprend pas qui fait quoi.

dimanche 16 septembre 2012

Le Centaure et l'Animal

Sur des extraits du violent texte de Lautréamont, Les Chants de Maldoror, Bartabas et le danseur de butô Ko Murobushi livrent un spectacle d'une beauté crépusculaire. Bartabas apparaît tel la figure de la mort en noir sur un cheval noir qui passe sans un bruit entre des drapés noirs… une vision surnaturelle. Ensuite, le duo entre dans une danse des ténèbres, très figée, très belle mais sans fin.