jeudi 18 mars 2010

MIX MOVE
Dans le cadre du Discom, le Salon de la nuit, avait lieu le Mix Move. D'un côté les gogo danseuses en maillot de bain et les patrons de discothèque à Rayban, de l'autre les fabricants de platines CD et logiciels pour DJ. On ressort évidemment sourd de ce salon où les démonstrations sont assez peu pédagogiques. La conférence sur l'avenir du DJ est écourtée (Mme Guetta était en retard pour la conférence précédente) et éculée.

GENERAL ELEKTRIKS
HIGELIN À LA CIGALE
IN THE AIR

Ryan (Clooney) est un spécialiste du licenciement à qui les entreprises font appel. Sa quête : les 10 millions de miles, glanés grâce à ses perpétuels voyages en avion. Il fuit tout engagement (mariage, propriété, famille) jusqu'à ce que sa rencontre avec deux femmes ne le ramène sur terre.
Alors qu'il tombe amoureux d'une femme rencontrée lors d'un de ses nombreux voyages, il apprend par la voix de son patron que ses méthodes de travail vont devoir évoluer. Inspiré par une nouvelle jeune collaboratrice très ambitieuse, celui-ci décide que les licenciements vont pouvoir se faire de manière encore plus rentable, par vidéo conférence. Son amour se révèlera comme lui, refusant l'engagement… mais juste avec lui. Notre Ryan regagnera son territoire : le ciel.
Ni comédie, ni satire sociale, le film s'oublie aussi vite qu'il se laisse voir.

MUSIQUE BRÉSILIENNE AU QUAI BRANLY

ELECTRO DA PARAIBA : CHICO CESAR, DJ CHICO CORREA ET GERALDO MOUZINHO (NORDESTE)

Présenté pour la première fois en France, ce concert réunit trois tendances de la musique brésilienne : la chanson contemporaine, l’électro et la fameuse poésie traditionnelle, proche du slam, des repentistas du Nordeste.
Originaires de l’État du Paraiba, Chico Cesar et Chico Correa sont rejoints sur scène par le troubadour Geraldo Mouzinho, pour une joute nordestine au cours de laquelle seront mixés rimes, coco de embolada, forró et électro.
Le concert est le reflet d’une musique populaire brésilienne qui oscille constamment entre transmission et création.

BARBATUQUES (SAO PAULO)

Une des grandes révélations de la musique brésilienne actuelle
Barbatuques est l’entreprise bizarre d’hommes et de femmes qui se tapent dessus : pas les uns sur les autres, mais chacun sur soi. La musique corporelle de Barbatuques – « Human beatboxes » brésiliennes - témoigne d’une créativité qui nous renvoie à l’origine même de l’homme et de son rapport au rythme.

jeudi 4 mars 2010

ARNAUD FLEURENT-DIDIER AU MK2

Le Parisien de 35 ans présentait quelques films qui l'ont touché, dans le cadre de "Reprojections". Soit un mini-concert, une présentation et un film choisi par AFD. Le 1er mars, six chansons en ouverture, dont trois interprétées par AFD. Puis le film "A bout de course" de Sydney Lumet.
Le jeune Danny vit caché aux USA avec ses parents, recherchés par le FBI pour un attentat a la bombe contre une fabrique de napalm. Prodige du piano, il rencontre Lorne, la fille de son professeur de musique, à qui il ne pourra cacher sa véritable identité ni son amour…
Arnaud Fleurent-Didier avoue s'être identifié à ce jeune homme timide et passionné de musique…

mardi 2 mars 2010

"TOURBILLON"

"TOURBILLONS"

Une œuvre entre théâtre, chant, musique et scansion. Pas de musique en fait, mais seulement une comédienne qui chante a capella en enchaînant des syllabes sans signification, une composition signée Georges Aperghis, des textes d'Olivier Cadiot, chantée et dits par Donatienne Michel-Dansac. Folie ou enfantillages ?


Tourbillons - extrait
WebTV_du_Rond-Point. -