vendredi 25 mars 2011

SOIRÉE GET DOWN #2

Très bonne ambiance à la Favela Chic pour la soirée Get Down #2 avec Melle Stéphanie et DJ Bronco.
Mais "Good Times" de Chic, "Cross the Tracks" de Maceo Parker, "Think" de Lyn Collins… que du tube, c'est un peu dommage. Peut-être qu'en fin de soirée les DJs prennent un peu plus de risques, mais nous n'avons attendu jusqu'au petit matin des pépites funk…

Elf la pompe Afrique par latelevisionpaysanne"ELF, LA POMPE AFRIQUE"

Nicolas Lambert retranscrit mot pour mot le procès Elf de 2003, auquel il a en partie assisté (merci le régime intermittent dit-il). La suffisance de Loïk Le Floch Prigent, l'art de ne rien dire de Tarallo ("Voilà !" et ses périphrases), la gouaille de Sirven ou encore les enfantillages de Gulfi sont à la fois drôles et consternants. Ils se moquent du juge (aux yeux de chouette inquisiteurs), se renvoient la balle, et surtout tiennent un personnage, un rôle, une ligne de défense. On est au théâtre, et la justice doit se prononcer, difficilement.

jeudi 17 mars 2011

SOIRÉE SURPR!ZE @ LA MACHINE

Dans la Chaufferie, DSL, avec ses comparses DJ et MC sont décevants : du tube (Pharohe Monch, Still Dre etc.) puis de l'electro qui bourine. Detroit Grand Pubahs n'est guère mieux, toujours en DJ set. Les deux auraient sans doute été plus intéressants en live.
Dans la grande salle justement, Only for the kids se la joue 80's, sans trop varier les plaisirs…
"UNE SEMAINE D'ART EN AVIGNON"

A la croisée de la danse, du théâtre et du témoignage, deux danseuses et la mère de l'une d'elle (qui témoigne), raconte l'histoire du Festival d'Avignon en 35 minutes. Après l'évocation au micro, les noms ou dates sont reliés sur un mur blanc à l'aide d'une bombe de peinture : Mnouchkine, Vilar, Casarès, Ralite, Bausch…
Vu au CND de Pantin.

dimanche 13 mars 2011

"MA PART DU GÂTEAU"

France (Karin Viard), ouvrière, vit à Dunkerque, avec ses trois filles. Son usine a fermé, elle tente de se suicider (quel intérêt pour le scénario ?) puis décide de partir à Paris pour trouver un travail. Elle accepte un stage pour devenir femme de ménage (elle joue une femme russe et forçant l'accent, très drôle). Puis se fait engager chez un trader, qui emmène dans son avion privé mannequin de 17 ans à Venise (mais cette fausse générosité ne prend pas sur la miss, même si elle se donne). France finira par apprendre que le trader dont elle garde le môme est en partie responsable de la faillite de son ancienne entreprise. Elle enlève le gamin, il lui envoie les flics. La fin (la plèbe qui poursuit les flics et le trader en mercedes) est manichéenne et sans trop d'imagination.
"L'ÉTAU"

Un Hitchcock des derniers temps (1969), pas très bon. Une histoire d'agent du KGB passé aux États-Unis, qui met en lumière des Français agents-doubles. Il informe les Américains sur un trafic d'armes Russes a Cuba. Un espion français est parachuté à Cuba où, il obtient de précieux renseignements, grâce à sa maîtresse cubaine, femme d'un puissant castriste.
"UNE FEMME DISPARAÎT"

Hitchcock s'amuse toujours dans ses dialogues ou dans les situations (une religieuse en talons-aiguilles). Le film traite de la folie d'une certaine façon, puisque l'héroïne dit avoir parlé à une vieille dame dans le train, alors que tous se taisent pour des raisons différentes (le kidnappeur, ou deux Anglais pressés d'arriver pour voir un match de cricket).
Le film se termine dans une ambiance très brutale de mitraillage du wagon-restaurant. L'histoire prend un tour alors très tragique.