mardi 17 février 2015

Génériq 2015


Rendez-vous chez Est Imprim, les machines ont été poussées pour que The Parrots puissent faire gronder leur rock-surf. Direction ensuite le Musée des Beaux-Arts de Besançon, vide pour cause de rénovation. Dans un espace tout en béton, le Britannique Ghost Culture livre en solo ses chansons électroniques à deux mètres de hauteur, avant de laisser la place un peu avant 23h au Français Thylacine pour un live plus techno.
Rendez-vous le vendredi à Dijon où la pop des Britanniques de Nimmo a fait la veille grande impression. Direction le Clos de la Perrière pour une dégustation de Côte de Nuits, après le concert solo de Dad Rocks au domaine. Le jeune danois est un peu le fil rouge de cette édition, avec pas moins de huit concerts programmés.
Ce vendredi soir, le label français Pan European Recording est à l'honneur à la Vapeur, la Smac de Dijon. Arthur Peschaud, label manager, accompagne ses trois artistes se produisant en solos  : Judah Warsky, Buvette et Flavien Berger. Dans la grande salle, le duo guitare-machines Kuage prend le relais, suivi de Kele puis de Rone.

Flavien Berger joue le lendemain au milieu des Picasso et des Léger à la Donation Dardot de Belfort. Ambiance vernissage. Un peu avant, Loup Barrow et le violoncelliste Goulven Ka avaient investi le planétarium de Belfort avec un étrange instrumentarium  : cristal Bachet, hang et séraphin.

En début de soirée, nous assistons à un concert en appartement de l'énergique rappeuse Sianna. 
À vingt minutes de voiture de là, Feu Chatterton fait vibrer le Moloco, salle située à Audincourt, avant Carl Barât.
Dimanche, dernier jour du festival Génériq, DJ Pone secoue un salon de thé cosy de Belfort. La veille, il se produisait au Noumatrouff de Mulhouse avec son projet Sarh.