samedi 6 juillet 2013

Gonzales

Loupé aux Folies-Bergères puis aux Nuits Botanique, c'est à Pleyel que je vois Gonzales. En première partie, une chanteuse-harpiste, Serafina Steer, au registre très beau mais un peu limité.
Gonzales fait presque du Zygel, il nous explique que le "4 to the floor" a remplacé le rythme ternaire de la valse, mais voudrait bien rapper sur un rythme à trois temps. Il se moque de ses "esclaves musicaux", le quatuor Kayser & friends (10 musiciens sur scène) et démontre la richesse et les limites du piano : basse-batterie main gauche et mélodie main droite, on peut assister à 2 heures de concert de piano, pas de flûte traversière… mais le piano a moins de modulations que les cordes.
Gonzales fait le show.
Je le retrouve en coulisses après le concert, en compagnie des Housse de Racket.