Gonzales
Loupé aux Folies-Bergères puis aux Nuits Botanique, c'est à Pleyel que je vois Gonzales. En première partie, une chanteuse-harpiste, Serafina Steer, au registre très beau mais un peu limité.
Gonzales fait presque du Zygel, il nous explique que le "4 to the floor" a remplacé le rythme ternaire de la valse, mais voudrait bien rapper sur un rythme à trois temps. Il se moque de ses "esclaves musicaux", le quatuor Kayser & friends (10 musiciens sur scène) et démontre la richesse et les limites du piano : basse-batterie main gauche et mélodie main droite, on peut assister à 2 heures de concert de piano, pas de flûte traversière… mais le piano a moins de modulations que les cordes.
Gonzales fait le show.
Je le retrouve en coulisses après le concert, en compagnie des Housse de Racket.
Gonzales fait presque du Zygel, il nous explique que le "4 to the floor" a remplacé le rythme ternaire de la valse, mais voudrait bien rapper sur un rythme à trois temps. Il se moque de ses "esclaves musicaux", le quatuor Kayser & friends (10 musiciens sur scène) et démontre la richesse et les limites du piano : basse-batterie main gauche et mélodie main droite, on peut assister à 2 heures de concert de piano, pas de flûte traversière… mais le piano a moins de modulations que les cordes.
Gonzales fait le show.
Je le retrouve en coulisses après le concert, en compagnie des Housse de Racket.
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