Salo ou les 120 journées de Sodome
Dernier film de Pasolini (1976), avant qu'il ne soit assassiné. Un film sulfureux et mystérieux, où le totalitarisme côtoie le sadisme. Nous sommes à Salò, petite ville de l’Italie du nord où Mussolini instaura
sa République sociale fin 1944.
Olivier Père y voie une diatribe anticapitaliste. "Salò… dénonce l’asservissement du prolétariat, explique comment le capitalisme transforme tout en marchandise". "Tout ce qui irréalise le fascisme est mauvais ; et tout ce qui réalise Sade est mauvais" disait Roland Barthes.
Le film se divise en quatre segments : "le vestibule de l’enfer", "le cercle des manies", "le cercle de la merde", "le cercle du sang", qui vont crescendo dans la domination, la torture et la provocation. A la fin, le spectateur est vraiment voyeur, avec cette longue vue qui épie derrière un carreau les tortures menées dehors.
Olivier Père y voie une diatribe anticapitaliste. "Salò… dénonce l’asservissement du prolétariat, explique comment le capitalisme transforme tout en marchandise". "Tout ce qui irréalise le fascisme est mauvais ; et tout ce qui réalise Sade est mauvais" disait Roland Barthes.
Le film se divise en quatre segments : "le vestibule de l’enfer", "le cercle des manies", "le cercle de la merde", "le cercle du sang", qui vont crescendo dans la domination, la torture et la provocation. A la fin, le spectateur est vraiment voyeur, avec cette longue vue qui épie derrière un carreau les tortures menées dehors.
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