dimanche 5 décembre 2010

SUSPECTION

"Dans une combinaison qui évoque l’univers carcéral de Guantanamo, Evelyne Bouix est installée sur une table en mouvement, questionnée par la voix, rappel de la Stasi. Les images et les sons fusent, l’épouvante affleure. Les souvenirs, les restes mémorisés des moments essentiels de l’existence peuvent-ils devenir des produits soumis à la validation des autorités ?"

Bilal rate sa pièce, qui ne dépasse pas le stade de la description répétitive ("Comment avez-vous rencontré numéro 247 ?"). La mise en scène est naïve (Guantanamo évoqué par une table de torture et des cris enregistrés), il n'y a aucune progression du spectacle, la comédienne maîtrise mal son texte... Bof