mercredi 9 juin 2010

MANUEL GÖTTSCHING À LA GÉODE

En première partie, l'Américain Oneohtrix Point Never distille une electro ambient indus assez intéressante sur d'étonnantes images de fonds marins.
De son propre aveu, cela faisait plus de 30 ans que Manuel Göttsching n'avait pas joué à Paris. Sur scène, la formule est la suivante : des boucles rythmiques lancées depuis un ordinateur MacBook, sur lesquelles il joue de la guitare. L'hypnose prend parfois, d'autres titres sont plus de grandes litanies un peu dépassées, façon Dire Straits avec plein d'effets d'échos. Chaque titre durant 10 minutes, le concert s'éternise jusqu'à 0h30, sans qu'il joue l'essentiel "E2 E4", dont notre voisin tient la version vinyle. Dommage…