dimanche 5 novembre 2006

PHILIPPE CAUBÈRE, "L'HOMME QUI DANSE", second épisode

Alors ? Ce n'est pas aussi fort ni aussi drôle que le premier épisode. La faute peut-être à Claudine, la mère, qui est moins présente dans cet épisode que dans le premier. L'effet de surprise s'est sans doute aussi amenuisé. Là, ce sont de Gaulle, Mauriac ou Johnny qui sont conviés par l'adolescent Frerdinand dans sa chambre. De Gaulle tel un éléphant avec sa trompe, ses oreilles gigantesques et son képi, qui fait tout trembler, est une hilarante trouvaille. Ferdinand se rêve poète aux 98000 poèmes et communiste révolutionnaire, il termine la pièce en passant son bac à l'oral car nous sommes en 1968. L'aura-t-il ? Réponse dans le troisième épisode…