
Après l'incandescent "Head On", Fatih Akin revient toujours sur le thème du déchirement entre Allemagne et Turquie. Les destins se croisent sans que les personnages ne se rencontrent, dans une mise en scène très fluide. Une architecture qui rappelle celles d'Innaritu ("Amours Chiennes", "Babel"…), avec un peu plus d'amour pour ses personnages.
Dans la salle du Balzac, de Villepin (!), pas encore emprisonné pour l'affaire Clearstream...
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