FACTORY, FIN
Une belle surprise à signaler, celle d'Aloe Blacc, rappeur californien versatile, autant à l’aise dans le funk, les sonorités jazzy ou le dancehall. Mais aussi le projet de Laurent de Wilde et Otisto 23: le second sample en live le premier. Sur scène, tout devenait compréhensible grâce à l’écran géant qui montrait le pianiste, jouant, pinçant les cordes ou tapant la structure du piano à queue, cela donnait à la fin un morceau aux basses et échos de dub !
Laurent Garnier (photo), un peu trop bavard, a eu quelques coupures de son, mais sa techno mâtinée de jazz (car cela reste de la techno) est plus convaincante en live que sur disque. C'est surtout Scratch Massive qui a retourné un peu plus tôt la salle avec un live sombre, puissante et affûté, qui a envoûté le public. De la techno à l'état pur…
Une belle surprise à signaler, celle d'Aloe Blacc, rappeur californien versatile, autant à l’aise dans le funk, les sonorités jazzy ou le dancehall. Mais aussi le projet de Laurent de Wilde et Otisto 23: le second sample en live le premier. Sur scène, tout devenait compréhensible grâce à l’écran géant qui montrait le pianiste, jouant, pinçant les cordes ou tapant la structure du piano à queue, cela donnait à la fin un morceau aux basses et échos de dub !
Laurent Garnier (photo), un peu trop bavard, a eu quelques coupures de son, mais sa techno mâtinée de jazz (car cela reste de la techno) est plus convaincante en live que sur disque. C'est surtout Scratch Massive qui a retourné un peu plus tôt la salle avec un live sombre, puissante et affûté, qui a envoûté le public. De la techno à l'état pur…
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